06 17 82 90 32 - Monika Léoni Gosciewska - Artiste peintre généalogiste

Monika Léoni

Arstiste peintre généalogiste

Méthodologie

La technique de peinture à l’huile sur toile

En raison de mon adaptation à chaque commande d’arbre généalogique, du degré de difficulté de son exécution, des détails demandés et de la taille de chaque œuvre, chaque projet nécessite une durée différente.

Pour pouvoir évaluer le coût du travail, qui prendra en considération votre attente, certains points doivent être évoqués. Comme a dit un célèbre architecte John Pawson “La différence se mesure parfois dans les plus infimes détails.” C’est justement les détails qui définissent la beauté du projet final. C’est à vous qu’appartient cette décision qui me permettra de travailler en finesse sur votre projet.

J’ai besoin quelques éléments pour établir votre devis :

  • Le nombre de générations impliquées dans le projet
  • Le nombre de personnes sur l’arbre
  • Les détails tels que blasons, armoiries, devises familiales, texte, type de paysage, etc.
  • La qualité des détails choisis
  • Dimension des châssis souhaitée (voir en bas de la page le tableau des dimensions des châssis)
  • Le délai souhaité

Si le devis vous convient vous signez un « Bon pour accord, lu et approuvée ». A ce stade un acompte de 30% sera demandé (par virement, chèque ou espèces).

L’étape suivante est la réalisation d’un croquis au crayon, afin de vous donner un aperçu de votre arbre généalogique. Par la suite, l’esquisse sera numérisée pour pouvoir apporter toutes les modifications nécessaires, en étroite collaboration avec vous.

Les noms supplémentaires, textes, graphiques, paysages, devises familiales peuvent être ajoutés au fur et à mesure. Bien sûr je suis là, à votre disposition pour vous donner des conseils, des astuces et mon savoir-faire pour mettre en valeurs votre histoire familiale.

Lorsque vous serez satisfait du résultat, deux possibilités s’offrent à vous* :

1. Impression sur la toile de lin 400 grammes en noir et blanc (100% de la peinture à l’huile)
2. Impression sur la toile de coton 360 grammes en couleur (50 % des retouches réalisez en peinture à l’huile)

*Suite à certaines demandes de familles pour qui le projet tient à cœur au-delà de l’aspect financier, j’ai dû adapter mes tarifs pour qu’elles puissent vivre leur passion et réaliser leur rêve de posséder un arbre généalogique. Car la généalogie concerne nous tous. En aucun cas la barrière financière ne devrait être un frein pour ce projet.

Après l’impression et le montage en châssis on peut procéder à la peinture. Au cours des différentes étapes, je vous envoie des photos pour vous faire partager l’avancement du projet. Vous pouvez également venir sur place pour observer l’avancement du travail.

Veuillez envoyer ces éléments ci – dessus à mon adresse e-mail :

monikaleoni@hotmail.fr

Vous pouvez également me contacter par téléphone au :
06 17 82 90 32
c’est plus agréable!

Le devis sera rédigé après l’envoi des premiers éléments. Une fois qu’il est accepté et l’acompte de 50% réglé, je préparerai un croquis au crayon afin de vous donner un aperçu de l’arbre généalogique, qui sera numérisé, et auquel j’apporterai des modifications.

Les noms supplémentaires, textes, graphiques, paysages, devises familiales ou visages peuvent être ajoutés au fur et à mesure.

Lorsque vous serez satisfait du dessin, il sera imprimé sur la toile dans le format souhaité. Ensuite on peut procéder à la peinture. Au cours des différentes étapes, je vous envoie des photos pour vous faire partager l’avancement. Vous pouvez également vous rendre sur place pour admirer l’avancement du travail.

« Voici les différents éléments permettant de déterminer le prix d’une œuvre d’art, quelle qu’elle soit.

Les critères indispensables

1. Le coût du matériel.
De la terre glaise ou de la feuille d’or, le matériel employé à une valeur marchande déterminée par sa qualité, sa rareté ou sa préciosité. Une peinture réalisée avec du véritable lapis-lazuli vaudra forcément plus cher qu’une peinture identique mais réalisée avec une couleur bas-de-gamme. Nous sommes ici dans l’aspect purement matériel, donc comme dans tous les domaines, la qualité des matériaux de base est en très grande partie responsable de la valeur du produit finit. Au restaurant ou au rayon textile, l’affaire est la même.

2. La technique employée
Il faut se rendre à l’évidence, il existe bel et bien une hiérarchie parmi les techniques picturales. La peinture à l’huile l’emporte sur toutes les autres, y compris le pastel et l’aquarelle. C’est le malheureux dessin au fusain ou crayon graphite qui est dominé par toutes les autres. Tout comme la sculpture de marbre l’emportera sur la céramique ou encore la terre. Cette hiérarchie est basée sur la complexité de la maîtrise des matériaux. Maîtriser toute la complexité chimique de la peinture à l’huile ainsi que la mécanique de ses matériaux est indubitablement plus difficile que la maîtrise du processus aqueux de l’aquarelle, entre autres.

3. Le marché dans lequel vous évoluez
Cela sous-entend le périmètre dans lequel s’étend votre réseau actuel : marché local, régional, national ou international. Si vous êtes un total inconnu, alors il serait de mauvaise augure et inapproprié d’appliquer des hauts tarifs. Il vaut toujours mieux commencer avec des tarifs bas et les augmenter au fur et à mesure de vos « réussites » artistiques plutôt que d’avoir à les baisser. Baisser ses prix dévalue également la réputation ou l’image. Rajoutons que l’importance de votre réseau de connaissance est loin d’être négligeable. En effet si vous portez un nom célèbre ou faîtes partie de l’entourage d’une célébrité de tel ou tel milieu, alors vous avez déjà de très bonnes cartes dans votre jeu. Ce comportement est là aussi discutable mais au fond, peu importe la tournure du débat, agir de la sorte est tout à fait humain. Le réseau est important car c’est lui qui influencera le marché, du parfait inconnu il peut vous propulser dans les hautes sphères internationales. Ce qui explique le comportement de jeunes « artistes » contemporains étant prêts à tout pour se faire remarquer.

4. La qualité visuelle
Nous sommes ici au-delà de la notion de « beau », ce critère est bien trop personnel pour pouvoir être pris en compte dans un jugement. En revanche la justesse du dessin, l’harmonie des couleurs ainsi que la complexité de la composition sont des éléments qui jouent énormément. On ne parle pas ici de rapport de fidélité à la nature, car même un dessin cubiste, surréaliste, ou même encore à tendance abstraite peut être réalisé avec justesse. Cette dernière s’obtient par la cohérence et l’harmonie générale. Un œil averti saura tout de suite reconnaître un effet volontaire, hasardeux ou, n’ayons pas peur de le dire, raté. Alors mieux vaut éviter de tricher par un fameux « c’est fait exprès » : le connaisseur, le professionnel, l’habitué ou l’expert, peu importe, vous démasqueront à coup sûr et sans vous le dire, ce qui vous décrédibilisera complètement… Ces derniers que l’on pourrait appeler des experts visuels ont un compas dans l’œil, alors ils remarqueront immédiatement si la composition est déséquilibrée, si les teintes sont agressives, si les lignes et formes sont incohérentes. De la qualité visuelle dépend donc en partie la valeur de l’œuvre.

5. Le parcours de l’artiste
L’acheteur ou le commanditaire a avant tout besoin d’être confiant, il a ce besoin d’être rassuré sur son éventuel investissement. Il sait qu’acheter de l’art est une excellente affaire, mais encore faut-il qu’il y ait une plus-value, car là est son principal intérêt (avec bien sur celui du coup de foudre pour votre œuvre et la passion du mécénat d’art… oui, laissons-nous le droit de rêver !). C’est pourquoi si vous êtes diplômé de grandes écoles d’art, cela joue en votre faveur car votre diplôme est la preuve officielle de votre potentiel artistique. Heureusement pour les autres, ce n’est pas le seul moyen. Le nombre d’expositions personnelles ou collectives, les ventes aux enchères, les victoires aux concours, etc. sont autant de preuves qui font de vous des talents intéressants, et vous donne donc une valeur.

6. Le prix du marché
Bien entendu, comme dans tous les domaines lorsque l’on met quelque chose en vente sur le marché, mieux vaut avant tout se renseigner sur les tarifs pratiqués pour un produit plus ou moins équivalent. Il est évident que vos tarifs ne vont pas être multipliés selon l’endroit où vous vous trouvez, mais ils pourraient cependant être réajustés. Par exemple les tarifs pratiqués à Plougalet-les-jolivets* seront indubitablement différents de ceux de Paris ou encore New-York et Tokyo. Il est assez judicieux de s’adapter à son environnement. D’une part parce que les visiteurs de l’exposition n’auront pas la même approche ni les mêmes attentes, donc ce qui fait fureur à un endroit, ne fait pas forcément fureur partout ! C’est pourquoi un simple petit réajustement de prix (à la hausse ou à la baisse) pour l’occasion, peut favoriser le bon déroulement des opérations. Il faut être réaliste, le festival d’art du village voisin, comme celui de Plougalet-les-jolivet qui a le mérite d’être grandement sympathique, n’apportera pas le même potentiel de vente qu’une galerie à renommée internationale située dans les quartiers riches d’une mégalopole.
Afin d’anticiper toutes remarques concernant la pratique néfaste d’une baisse de tarifs abordée au point 3, je préfère éclaircir tout de suite ! Non il n’y a pas de contradiction, en vérité la baisse de tarif est néfaste si elle est généralisée et permanente, car d’une part cela donne à penser que vous perdez en qualité, de plus vos anciens acheteurs vont être fort contrariés car dans cette histoire, ils deviennent perdants… En revanche, dans ce point-ci, il s’agit simplement d’un réajustement momentané et exceptionnel. Si vous êtes totalement contre le réajustement des tarifs (ce que je comprends évidemment très bien), d’autres solutions s’offrent à vous, telle que la diminution des formats par exemple. Un réajustement non par le prix mais dans le processus de création.
* Ville, ou plutôt bourgade située dans la fin fond de mon imaginaire, illustrant parfaitement ces chers petits villages de campagne, charmants pour leur environnement mais à faible influence culturelle sur l’échelle planétaire.

7. La qualité technique
Ce critère-là n’est bizarrement jamais mentionné alors qu’il me semble pourtant indispensable. Car c’est avant tout de la qualité technique, de la qualité du savoir-faire que dépend la pérennité de l’œuvre. Une œuvre prête à traverser les siècles dans un état remarquable devrait en toute logique avoir plus de valeur qu’une autre qui va nécessiter une ou plusieurs restaurations sur ce même laps de temps. Il est assez ahurissant de constater des œuvres de grandes collections privées (sans citer de noms) acquises cette dernière décennie, déjà craquelées du vivant même de l’auteur. Craquelures non pas dues à un problème de conservation (le propriétaire n’y est pour rien), mais bel est bien à un problème technique lors du processus de création, comme le non-respect du gras sur maigre ou la mauvaise préparation du support dans le cas d’une peinture à l’huile. Malheureusement pour l’acquéreur et certainement heureusement pour le créateur, il n’existe pas de SAV artistique. L’acquéreur n’a donc d’autres choix que de faire confiance à l’artiste censé connaître et maîtriser son métier. Il est aisé d’imaginer qu’un acheteur qui débourse une somme conséquente en vue de constituer un patrimoine ou une plus-value, et même dans le cas d’un coup-de-cœur, ne désire en aucun cas la voir dépérir contre tout-attente telle une œuvre éphémère. Arrêtons les arnaques et faisons honneur à un corps de métier. La durée de vie d’une œuvre dépend de la qualité de ses matériaux et de son processus de fabrication, et cette durée de vie doit déterminer la valeur de l’œuvre.
D’autres critères peuvent influencer la fixation du prix, mais ceux-ci sont trop subjectifs et dépendant des points précédents pour jouer un rôle déterminant, ils sont seulement de simples indicateurs. Car selon les points précédents, une petite toile peut valoir plus cher qu’un grand format, ou une toile abstraite exécutée rapidement a parfois plus de valeur qu’une œuvre figurative aux multiples détails.

8. Le format
Le format peut être un bon point de départ. Pour un artiste débutant ou inconnu, le prix se base selon le format de la toile. Si l’on prend pour référence les formats standards français (à voir ici), il faut compter plus ou moins 20€ par point (ou numéro). Par exemple pour un format 12P (61x50cm), le calcul à faire est 12 x 20€ = 240€.
A cela s’ajoute les différents éléments vus précédemment (le matériel, votre parcours, etc.).

9. Le temps de travail
Ce critère n’est malheureusement pas aussi déterminant qu’il n’y parait. Une œuvre abstraite réalisée en un quart de temps peut avoir bien plus de valeur marchande qu’une œuvre détaillée et minutieuse créée durant de longues heures voire semaines… C’est assez frustrant pour une grande partie des artistes évidemment mais le but de l’art est de toucher l’âme (entre autres chose), et le temps de travail n’est de toute évidence pas proportionnel à la puissance émotionnelle et à l’efficacité visuelle.

10. La complexité du sujet
Tout comme le point précédent, la complexité du sujet peut entrer en ligne de compte, sans pour autant être décisif. Une composition faites de multiples portraits réalistes est bien plus complexe et laborieuse à réaliser qu’une composition abstraite. Cela peut donc être un critère supplémentaire mais pas déterminant puisque tout comme le temps de travail, la complexité du sujet ne reflète pas forcément la qualité et la puissance de l’œuvre.
La hiérarchie des genres de l’Académie du XIXe siècle a bel et bien disparu, cependant sa gouvernance a été récupérée par la conjoncture du marché de l’art actuel, régit par l’autorité suprême de notre société matérialiste : celle de l’offre et de la demande. »

Source de l’article : https://techniquedepeinture.com/comment-fixer-le-prix-dune-oeuvre/

Your family tree on canvas :
how it’s done

Because of my adaptation to each family tree order, the degree of difficulty of its execution, the amount of details requested and the size of each artwork, each project requires different workload and time.

Throughout the process, I am in constant contact with my clients. This allows me to adapt and improve the work at every step, together with them.
When the client is satisfied with the final result, the canvas is varnished to best preserve it. A week of drying is necessary.

Then the artwork can be picked up by the client or sent to the address indicated at the time of order.

To be able to place an order, I need a few items:

  • Who the family tree is designed to.
  • The exact number of people in the family tree (please attach all files and documents)
  • How many generations will be on the tree
  • Dimensions wished for the canvas (standard or particular)
  • The preference for the style of oil painting (contemporary, classic…)
  • The desired timeline
  • Your phone number.

 Please send the above information to my email address:

monikaleoni@hotmail.fr

You can also contact me by phone at:
33+(0) 6 17 82 90 32
It’s more pleasant!

When I have received all the elements I will draw up and send you an estimate. Once the quote is accepted and the 50% down payment is settled, I will prepare a pencil sketch to give you an overview of the family tree, which will be digitized, so that I can make changes.

Extra names, texts, graphs, landscapes, motto or faces can be added along the way.

When you are happy with the drawing it will  be printed on canvas  in the chosen format. Then I can proceed with the painting. During the various stages, I’ll send you pictures to show you the work in progress. You can also come and visit to see the artwork for yourself.

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